Hymne à l’inventeur du bouchon d’oreille
A toi le protecteur des amants de Morphée
Toi qui sur nos rêves et nos cauchemars veille
Que tu sois ici à jamais remercié
On ne saura jamais qui tu es d’où tu viens
Ni comment cette idée dans ton esprit germa
Fille peut-être d’Ulysse attaché à son mât
Protégeant ses amis des sirènes par ses soins
On ne dira jamais la joie des douces pauses
D’une âme reconnaissante par toi rassérénée
Repose, ami très cher, que ton âme virtuose
S’unisse au souffle serein de nos sommeils réglés