Ne désespérez pas !

L’espoir : la clé du bonheur et du succès

L’espoir est une émotion puissante qui peut transformer nos vies de manière significative. Qu’il s’agisse de faire face à des défis personnels, professionnels ou mondiaux, l’espoir est souvent la force motrice qui nous pousse à persévérer.

L’importance de l’espoir

Lorsque nous sommes confrontés à des moments difficiles, c’est l’espoir qui nous aide à trouver la force de continuer. Il nous permet de voir au-delà des obstacles présents et de croire en des jours meilleurs. En effet, les personnes remplies d’espoir ont tendance à être plus résilientes et à mieux faire face au stress.

Cultiver l’espoir au quotidien

Il est crucial de cultiver l’espoir dans notre vie quotidienne. Cela peut être fait en se fixant des objectifs réalistes, en entourant de personnes positives, et en gardant une perspective optimiste. La pratique de la gratitude est également un moyen efficace de maintenir un état d’esprit rempli d’espoir.

L’espoir en action

L’espoir est souvent à l’origine des grandes réalisations. Que ce soit la lutte pour l’égalité des droits, la guérison d’une maladie grave, ou la poursuite de ses rêves les plus fous, l’espoir est ce qui pousse les gens à agir et à effectuer des changements positifs dans leur vie et dans le monde qui les entoure.

En conclusion, l’espoir est une force puissante qui peut transformer nos vies de manière positive. En cultivant l’espoir au quotidien et en croyant en des lendemains meilleurs, nous pouvons surmonter les obstacles et accomplir de grandes choses.

Bonne année 2024 !

J’ai délaissé ce site quelque temps. Trop de vents contraires dans ma vie et trop de choses à installer, réinstaller. Mais enfin, voilà, je suis de retour ! J’espère que cette nouvelle année me permettra de revenir à ce qui a fait mon bonheur dans ma vie auparavant. Ecrire, jouer à Second Life, faire mes petits dessins numériques. Et j’espère que cette nouvel année nous permettra de nous retrouver ici pour des échanges fructueux. Puisse cette nouvel année vous apporter la joie si ce n’est le bonheur ! Meilleurs voeux !

Histoire du muguet du 1er mai

On fait remonter la tradition du muguet du 1er mai à la Renaissance, Charles IX en ayant offert autour de lui en 1561 comme porte-bonheur. La légende veut qu’en 1560, Charles IX et sa mère Catherine de Médicis visitent le Dauphiné où le chevalier Louis de Girard de Maisonforte offre au jeune roi un brin de muguet cueilli dans son jardin à Saint-Paul-Trois-Châteaux. Le roi, charmé, reprend cette pratique d’offrir chaque printemps un brin de muguet à chacune des dames de la cour en disant « Qu’il en soit fait ainsi chaque année », la coutume s’étendant rapidement à travers tout le pays. Une autre version de la légende veut qu’en 1560, Catherine de Médicis charge le chevalier de Saint-Paul-Trois-Châteaux, ville du département de la Drôme, d’une mission secrète auprès des Borghèse, ce dernier revient de chez cette riche famille italienne et, en guise de réussite de sa mission, offre au roi à la cour de Fontainebleau un bouquet de muguet trouvé dans les bois.

En France, dès 1793, le calendrier républicain de Fabre d’Églantine propose une fête du Travail (« jour du travail ») au 3e jour des sansculottide (le « tridi »), tandis qu’il associe le muguet au « jour républicain », le 26 avril et non le 1er mai, rompant ainsi avec cette tradition royale.

Cette tradition se perd jusqu’au 1er mai 1895 qui voit le chansonnier Félix Mayol débarquer à Paris, gare Saint-Lazare, et se voir offrir un bouquet de muguet par son amie parisienne Jenny Cook. Une anecdote publiée dans ses mémoires rapporte que, faute de trouver un camélia, les hommes élégants portaient à l’époque au revers de leur redingote, il prend un brin de muguet le soir de sa première sur la scène du Concert parisien. La première étant un triomphe, il conserve ce muguet qui devient son emblème et relance peut-être cette coutume.

Fleur de muguet

À la Belle Époque, les grands couturiers français offrent le 1er mai un brin de muguet à leurs petites mains et à leurs clientes. Christian Dior en fait l’emblème de sa Maison de couture. Dès lors, cette coutume du 1er mai devient une fête dans la région parisienne.

Ce n’est qu’au début du 20e siècle qu’il sera associé à la Fête du travail, qui date elle-même de 1889. En fait, sous Pétain, la fête des Travailleurs devient la fête du Travail et l’églantine rouge (Rosa canina ou Rosa rubiginosa), associée à la gauche, est remplacée par le muguet.

La vente du muguet dans les rues de Nantescommença peu après 1932, avec l’instauration de la fête du lait de mai par Aimé Delrue. Elle se répandit ensuite à toute la France aux environs de 1936 avec l’avènement des congés payés.

En France, la vente du muguet par les particuliers et les associations non munis d’une autorisation et sur la voie publique est officiellement tolérée le 1er mai en respectant toutefois les autres obligations légales (il s’agit par exemple de muguet du jardin ou des bois et non pas de muguet acheté, sinon ce serait de la revente). La tradition de pouvoir vendre le muguet sur la voie publique remontant à Claude-François de Payan, ami de Robespierre.

Il est produit chaque année 60 millions brins de muguet, vendus à l’unité ou en pots. 85 % de la production nationale de muguet est récoltée dans la région nantaise (une trentaine de maraîchers répartis sur une demi-douzaine de communes et embauchant en contrat saisonnier près de 7 000 salariés), le reste en provenance de la région de Bordeaux. Le marché pèse environ plus de 90 millions d’euros, auquel il faut ajouter le muguet des bois qui représente près de 10 % de cette somme.

En France, il existe une tradition selon laquelle un brin de muguet à 13 clochettes porterait bonheur.

Extrait Wikipédia :

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Muguet_de_mai

Note à enregistrement différé

Et moi, pôvrette, qui rêvassait à moitié ce matin en imaginant que peut-être j’allais enregistrer un poème ce matin. Oui, voilà que ça me reprenait tout à coup. Que même je culpabilisais vaguement de ne pas l’avoir fait, me reprochant ma paresse. Comme on a vite fait de s’accuser… 1 heure plus tard me voici à nouveau dans les bruits de perceuse. Et la réalité qui vient me rappeler que non, les conditions n’y sont pas, que les conditions s’opposent. De toutes leurs forces, qui sont plus fortes que moi. Et moi d’être tétue, butée. Fixée sur l’objectif tel le regard du chien posé sur l’os sur la table. Au plus près de mon envie. N’écoutant rien d’autre que la voix de la petite fille de 5 ans en moi qui dit « Je veux ». Je voulais hier, je voudrais demain. Alors tant pis, je diffère, mais je ne renonce pas. Personne ne sait comment changer le sens du vent et mon vent intérieur souffle où il veut. Quoi qu’on en veuille, quoi que j’y veuille. Personne ne m’a soufflé de me réveiller ce matin avec l’envie d’enregistrer un poème. Ça arrive comme ça.

It’s private !

Si tout s’est bien passé, le blog est devenu privé et visible seulement sur invitation.

Enfin ! Si j’avais su que c’était possible, je l’aurais fait bien plus tôt plutôt que de laisser public un blog toujours plus qu’à moitié en friche, aux catégories approximative, au classement fantaisiste et aux photos de travers.

Tel qu’il est, il me plaît. Enfin… comme un vieux placard où on rangerait ses chaussettes en vrac, je m’y sens chez moi quoi, je sens mon odeur. Mais je me suis toujours senti vaguement mal à l’aise de laisser les gens le voir, un peu comme inviter des gens en week-end dans un appartement dont on n’a pas récuré la baignoire ni lavé les draps… Un laissez-aller à moitié involontaire, les publications se trouvant être la plupart du temps spontanée et mon attention toujours dispersée lorsque je suis sur internet ne me permettant pas de faire les choses en propres… Plus un carnet de notes en brouillon donc, dont les notes seraient parfois aussi des photos qu’un travail construit. Les corrections et les retouches n’étant décidément pas mon fort. Mais j’y reviendrai.

Allonz enfants

Un sondage réalisé par un télé m’apprend hier que plus de la moitié de mes compatriotes sont d’accord entre eux pour ne pas porter secours aux pauvres hères qui nourrissent par centaine les poissons en mer Méditerranée. Comme disait Desproges, la démocratie, c’est la dictature de la majorité. Les livres d’histoire et quelques années de grande misère m’ayant suffisamment renseignée sur le sens de la solidarité fraternelle  de la plupart (les exceptions n’en étant que plus remarquables), je n’en suis pas plus étonnée, ce qui est assez en soi assez terrifiant. Je vis tout de même dans un pays où il a fallu créer un délit de « non assistance à personnes à danger » pour que les gens s’arrêtent pour porter secours aux accidentés en sang sur le bord de la route…

C’est l’été

C

‘est l’été. Je suis amoureuse de quelqu’un, certainement, mais je ne sais pas de qui. J’envoie mes messages d’amour comme une bouteille à la mer. En espérant qu’ils sauront trouver le bon destinataire.

C’est l’été, les gens se préparent à partir en vacances. Je ne sais pas ce que c’est. Je rêve de voyage. Ici, là, partout. Moi toute seule, mon ordinateur, mon stylo, mon cahier et mon appareil photo. Un sac à dos.

C’est l’été. Je ne me préoccupe ni du tiers, ni du quart.

C’est l’été, je suis mon bon plaisir.

C’est l’été, je ris des idioties et des idiots.

C’est l’été, je ne prends pas la vie du bon côté, je prends la vie.

C’est l’été, j’arrête d’expliquer, je ne fais pas de démonstration.

C’est l’été, je sais que je peux grandir encore un peu avant de mourir.

C’est l’été, je travaille dans ce que j’aime faire

C’est l’été, je ne fais pas de plans en trois parties, je n’écris pas de conclusion.

C’est l’été

Chantal Boivent